artiste invité / pierre ardouvin

Pierre Ardouvin est représenté par la galerie Praz-Delavallade , Paris

Né en 1955, Pierre Ardouvin vit et travaille à Paris.
A la fois ludiques et inquiétantes, ses oeuvres se construisent à partir de matériaux simples et d’objet banaux: autant de “détritus” de la société contemporaine, dont il fait la matière première d’un art trouble, interrogeant une mémoire à la fois collective et individuelle.

Il a réalisé plusieurs expositions personnelles parmi lesquelles : "Le couvert est mis" au Topaz Art deNew-York et "Art, futur et democratie" au CCK en Argentine en 2017 ; "Joyland" à la Yoko Uhoda Gallery à Liège et "Tout est affaire de décor" au MAC VAL (Vitry-sur-Seine) en 2016 ; "Wicked World" à Galerie Praz-Delavallade à Paris (2015) ; à nouveau " Purple Rain" à l'occasion de la Nuit Blanche de Melbourne (Australie - 2014) ; "Helpless" au CRAC de Sète (2013) ; "Brain Damage" à la Galerie Chez Valentin (2012) ; "La Maison vide/La tempête" au CCC de Tours et "Purple Rain" lors de la Nuit Blanche de Paris (2011) ; "On dirait le sud" au MAM de Paris (2005).

Plus récemment, son travail a été montré à la Galerie Praz-Delavallade à Los Angeles avec "Ohlala" en 2019, et en 2020, il présente le "Cinquième Fauteuil d'artiste" pour la Sacla de Paris, ainsi que sa dernière exposition intitulée "Il souffrait d’une forme de narcolepsie particulière et il lui était difficile de faire la distinction entre hallucination et réalité" à la Yoko Uhoda Gallery (Knokke, Belgique).

Régulièrement exposées à l’occasion de foires (Art public, Art Basel Miami Beach; Au théâtre ce soir, dans le cadre d’Art Statement, Art Basel, Bale) et d’expositions collectives en France et à l’étranger, ses oeuvres sont conservées dans les collections du Musée d’art moderne de la ville de Paris, du CNAP,
des plusieurs FRAC et de la Fondation Jumex (Mexique), pour n’en citer que peu.

œuvres exposées / Isn't it good to be lost in the wood